Nouvel envoi

Une copie de Tant d’hivers est partie par courriel.

Mon imprimante laser a accouché de sept autres copies. Pour elles, ce sera le chemin de la poste la semaine prochaine, le temps de préparer les lettres aux éditeurs que j’ai sélectionnés.

211 pages, 51928 mots, cinq années de travail. C’en est terminé ?

Peut-être est-ce la dernière tentative du côté québécois. Du mois de la façon traditionnelle : imprimer, envoyer par la poste. Internet offre certaines possibilités que je devrais explorer.

L’idée d’adapter pour la France est une option que j’envisage aussi sérieusement. Adapter, pas travestir. Je relancerai un éditeur m’ayant déjà fait part d’un certain intérêt… J’en ai identifié deux autres.

 

Tant d’hivers qui n’est pas…

En me promenant sur le net, j’ai découvert le titre d’un livre avec le mot hiver… Curieux, je suis allé lire le résumé… Oh la la, on est loin de mon Tant d’hivers.

Voici le résumé en question, question de rigoler un peu.

Magie d’hiver

Woods Sherryl,Richards Emilie,Novak Brenda

« Les quatre histoires réunies dans ce livre nous plongent au cœur des nuits feutrées de l’hiver, pour mieux explorer la magie étoilée de l’amour et de la passion. Passion impossible pour Taylor qui se retrouve face à Dante, l’homme qu’elle a fuit trois ans auparavant, pour ne plus avoir à affronter sa froideur grandissante et la certitude qu’il allait la quitter… Délicieuse passion de Sophie, un soir de Noël, pour l’inconnu qui l’observe depuis la fenêtre de l’immeuble voisin. Et pourquoi n’y céderait-elle pas ? Après tout n’est-elle pas libre comme l’air ? Jusqu’au moment où elle découvre que le mystérieux inconnu n’est autre que le frère du riche homme d’affaires qui lui fait une cour effrénée depuis des mois… Passion brûlante et imprévue de Tilly qui, pour assister au mariage de sa mère dans un château enneigé au cœur de l’Espagne, a impérativement besoin d’un cavalier et se résout à faire appel à une agence d’escorte. Mais, à sa grande surprise, l’homme qui se présente, loin de se montrer familier avec elle, comme elle le redoutait, se montre au contraire froid et arrogant… Passion scandaleuse pour Madeline qui découvre que l’inconnu si sexy avec lequel elle a partagé une nuit de passion la veille de son premier jour de travail n’est autre que Lewis Goode, son nouveau patron. »

Nouveau visage

Je passe en coup de vent ici…
Ce soir, j’ai apporté quelques petits changements esthétiques. Le même hiver habille le blogue, mais la présentation a changé, notamment la couleur de police. Pour cette dernière, j’aurais préféré une autre couleur. Malheureusement, je n’en ai pas la possibilité. Ce n’est pas une option possible avec le thème choisi. Mais ça a tout de même de la gueule. J’aime bien.
Pour le livre, c’est le calme plat… Calme du temps des fêtes. Mi-janvier, je ferai ce que je voulais faire l’été précédent, c’est-à-dire envoyer en France l’adaptation de Tant d’hivers. C’est que j’ai repris l’exercice. Le texte n’a pas subi de changements profonds. Quelques notes en bas de page, par exemple, ce qu’est un cégep. Et d’autres copies vont prendre le chemin de maison d’édition québécoise. Je suis aussi dans l’attente de quelques envois. Croisement de doigts.

Tranquille

Oui, c’est tranquille, je peaufine Tant d’hivers, avant qu’il prenne le chemin de la poste. Au moins six copies. Une maison d’édition est intéressée, paraît-il qu’il y a du débat à l’intérieur de la boîte sur l’intérêt ou non de publier… Entre-temps, j’ai décidé d’envoyer à d’autres maisons d’édition, certaines l’ayant déjà reçu il y a un an ; depuis, il y a eu beaucoup de changements.

C’est long, le chemin de la publication. On m’avait déjà averti. Alors patience…

Au salon international du livre de Québec

Le Salon international du livre de Québec se termine aujourd’hui, dimanche 15 avril. Cette année, j’y suis allé à deux reprises. Comme visiteur. La prochaine édition, à titre d’auteur. Je l’espère.

À la première visite, j’ai distribué quelques cartes professionnelles, réalisées en prévision de l’événement. Certes, un salon du livre n’est pas l’endroit pour rencontrer des éditeurs ; c’est un peu comme aller au salon de l’auto de avec le désir de rencontrer des responsables de la compagnie Toyota… Souvent ce sont des représentants et des étudiants qui tiennent le fort dans les stands. Anecdote : lors de mes études universitaires, j’ai travaillé à trois éditions, au stand de Gallimard… Des auteurs désirant être publiés ont déjà voulu me remettre leur manuscrit pour que je le remette à Gallimard… C’est tout dire…

Mais bon, pour revenir aux petites cartes, on ne sait jamais qui on va rencontrer. J’ai quelques contacts. Et une personne connaît une personne, qui en connaît une autre… Qui ne tente rien n’a rien. (À suivre)