Une copie de Tant d’hivers est partie par courriel.
Mon imprimante laser a accouché de sept autres copies. Pour elles, ce sera le chemin de la poste la semaine prochaine, le temps de préparer les lettres aux éditeurs que j’ai sélectionnés.
211 pages, 51928 mots, cinq années de travail. C’en est terminé ?
Peut-être est-ce la dernière tentative du côté québécois. Du mois de la façon traditionnelle : imprimer, envoyer par la poste. Internet offre certaines possibilités que je devrais explorer.
L’idée d’adapter pour la France est une option que j’envisage aussi sérieusement. Adapter, pas travestir. Je relancerai un éditeur m’ayant déjà fait part d’un certain intérêt… J’en ai identifié deux autres.