Un ami m’a fait connaître les services d’autopublication électronique de la compagnie française Librinova. On détermine le prix de vente de son livre, Librinova offre des forfaits de publication ainsi qu’une palette de services allant de la création d’une couverture à la correction du manuscrit. Puis, on crée le livre numérique en quelques clics de souris. Celui-ci est mis en vente dans près de 90 librairies qui offrent des livres numériques, et ce, durant une année. Grosso modo, c’est la démarche qui est proposée. . Une vidéo l’explique. Fait intéressant… Si le livre atteint le chiffre de vente de 1000 exemplaires, il rejoint le programme « En route vers le papier » La compagnie Librinova devient alors en quelque sorte un agent qui cherche un éditeur traditionnel désirant publier le livre en version papier. Ce dernier aspect soulève à la fois mon enthousiasme et mon questionnement. On rêve papier pour rejoindre le plus large lectorat, mais c’est l’aspect juridique qui me chicotte ; sommes-nous « prisonnier » de la compagnie ? Par exemple, puis-je être publié aussi chez un éditeur québécois. Librinova est une société française, la recherche d’un éditeur se fera en France. La distribution d’un Tant d’hivers papier se fera-t-elle au Québec ? Si bien qu’enthousiasme et prudence sont de mise… À suivre…
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Tant d’hivers version 3. 0.
Texte écrit rapidement…
Au plus loin que je puisse remonter dans les sauvegardes de Tant d’hivers, j’arrive au 19 juin 2009. C’est toutefois une certitude que les premiers mots et les premières pages de mon histoire d’hivers et singulière sont bien en amont, peut-être en juin 2008. À cette époque, elle m’avait dit : « Pourquoi t’écris pas ? » Oui, pourquoi ? Mais aussi pour quoi ? Je n’ai pas résolu ces questions, et pour être franc, je n’ai pas envie d’y répondre. J’écris. Voilà tout. Nous
La semaine dernière j’ai imprimé Tant d’hivers version 3.0. Je crois que le temps était au beau fixe pour en faire profiter mon comité de lecture.
Les deux premières versions ont été déjà envoyées à des éditeurs. En 2011, en 2012. Certaines maisons ont daigné me répondre, des refus polis, sans doute des copier- coller, sans autre commentaire, pour d’autres, quelques mots, des mots que j’ai jugés positifs. Donc, des refus positifs. Au travail !
J’avais même reçu, non pas une offre, mais un intérêt marqué. Toutefois, je me suis buté à la question marketing ; c’est très bien écrit, peut-être trop, que ça sous-entendait. Pas assez grand public ? Comme j’en doute. Enfin…
C’est un dernier printemps que j’ai fait appel aux services de Nadia, au service de consultation et de coaching d’écriture Le pigeon décoiffé.
La mécanicienne des mots – voilà qui brise le romantisme de l’écriture mais je crois que c’est ça – a mis de l’avant les forces et faiblesses de Tant d’hivers. J’ai tenu compte de commentaires, de diagnostics, d’autres, non.
Je me suis livré à un nouveau découpage du texte, à couper, à ajouter, pour accoucher d’une nouvelle version qui a gagné grandement en maturité. Version finale ? J’en doute. Il reste une copie à mettre entre les mains du dernier membre de mon comité de lecture. Compte tenu que le temps des fêtes et le début du mois de janvier sont des périodes mortes, j’aimerais bien faire un envoi à la fin du mois de janvier, après avoir pris compte des recommandations du comité, avoir apporté des changements, avoir corrigé quelques fautes d’orthographe… Il y en a toujours qui se glissent.
Un jour d’été
Que faire, en ce joli 22 juin, heureusement pas trop chaud, encore sauvé de la chaleur estivale, oui, que faire, à part écrire ? Comme plusieurs journées précédentes, d’ailleurs.
C’est bien ça. Depuis deux mois je planche le plus souvent possible à la réécriture de Tant d’hivers. Après un passage entre les mains de Nadia du Pigeon décoiffé, le diagnostic a été bénéfique : coupe ici, coupe là, réaménage ici, pourquoi pas là, on réaménage ce chapitre, celui-là, on l’allège. Ce chapitre est devenu deux. Je fais de la mécanique.
Tant d’hivers a mûri, mais le fruit n’est pas encore mûr pour être envoyé par la poste. À l’automne, je vais relancer des maisons d’édition, je vais en solliciter des nouvelles.
Car l’été ça sert à faire pousser les choses, je vais façonner mon livre toute la saison. Dans mon cas, voilà une raison du bénéfice de cet été…
Ce sera septembre.
Tant d’hivers, une histoire d’hivers et singulière. Mais tellement singulière !
Nouveau visage
Je passe en coup de vent ici…
Ce soir, j’ai apporté quelques petits changements esthétiques. Le même hiver habille le blogue, mais la présentation a changé, notamment la couleur de police. Pour cette dernière, j’aurais préféré une autre couleur. Malheureusement, je n’en ai pas la possibilité. Ce n’est pas une option possible avec le thème choisi. Mais ça a tout de même de la gueule. J’aime bien.
Pour le livre, c’est le calme plat… Calme du temps des fêtes. Mi-janvier, je ferai ce que je voulais faire l’été précédent, c’est-à-dire envoyer en France l’adaptation de Tant d’hivers. C’est que j’ai repris l’exercice. Le texte n’a pas subi de changements profonds. Quelques notes en bas de page, par exemple, ce qu’est un cégep. Et d’autres copies vont prendre le chemin de maison d’édition québécoise. Je suis aussi dans l’attente de quelques envois. Croisement de doigts.